Tout savoir sur le métier d'assistante juridique
Le métier de l'assistante juridique consiste principalement à assurer le secrétariat d'un service juridique au sein d'une entreprise, ou d'un cabinet d'avocat. Elle constitue d'une certaine façon une interface entre les professionnels du monde juridique et les clients. Non seulement elle est chargée de s'occuper de l'agenda des auxiliaires de justice pour lesquels elle travaille, mais en plus, elle s'occupe de la préparation et de l'archivage des dossiers. De plus, dans certains contextes, comme au sein de cabinets d'avocats, elle peut être amenée à suivre les procédures devant les tribunaux, saisir les actes et envoyer les conclusions aux parties…
Quels sont les parcours et les évolutions de carrière du métier d'assistante juridique ?
L'accès à la profession d'assistante juridique implique de solides connaissances en droit, ainsi qu'une bonne maîtrise de plusieurs langues étrangères, dont l'anglais. Elle doit en outre être organisée, consciencieuse et discrète. Une formation de type BTS assistant de manager ou DUT carrières juridiques est souvent indispensable. De même, les doubles formations juridique et administrative sont en vogue. Une évolution de carrière est envisageable avec de l'expérience, selon le contexte : au sein d'une entreprise, l'assistante juridique pourra évoluer en faisant preuve de polyvalence. De même, une assistante juridique exerçant en cabinet d'avocat pourra devenir clerc d'huissier ou clerc de notaire, à condition bien évidemment de passer les examens professionnels exigés pour ces professions.
* Ce salaire a été calculé sur année à partir d'une étude sectorielle. Celui-ci rend public une fourchette de salaire de cette profession obtenue à partir d'un échantillonnage d'une candidats les plus représentatifs. La rémunération indiquée est une fourchette. Le salaire exact de cette profession dépend naturellement de la taille de l'entreprise, nombre de salariés, chiffre d'affaires. Le salaire indiqué est brut. Il ne tient compte ni des primes éventuelles, ni des éléments variables non individualisés comme la participation et l'intéressement, ni des avantages en nature.